Salammbô

Lavis d’encre noir et sépia sur papier Canson format A3

En hommage aux livre de Flaubert.

Salammbô était la vierge prétresse de Tanit.

On retrouve encore actuellement de nombreuses réminiscences du culte de Tanit dans tout le Maghreb, chez les Touaregs (Targui) et les berbères dans les bijoux en forme de croissant de lune ou la main de Fatima, les tatouages, le héné ou lorsque la mariée tourne sur elle même les mains levées dans la cérémonie pendant la Dokhla. Mais pas que, on l’invoque encore pour faire venir la pluie sous le non d’Oumouk tangou.

Mâtho chef des mercenaires tombe follement amoureux de la belle Salammbô et en mourra écorche vif.

Salammbô et un roman historique de Gustave Flaubert

Il a pour sujet la guerre des mercenaires au IIIeme siècle av JC, qui opposa la ville de Carthage aux mercenaires barbares qu’elle avait employés pendant la première guerre Punique, et qui se révoltèrent, furieux de ne pas avoir reçu la solde convenue. Flaubert chercha à respecter l’histoire connue, mais profita du peu d’informations disponibles pour décrire un Orient à l’exotisme sensuel et violent.

À l’instar de son œuvre, les travaux de recherche et d’élaboration déployés pour l’écriture de Salammbô sont considérables. En effet, en avril 1858, Flaubert se rend en Tunisie afin de voir Carthage, de s’y renseigner, et de lui permettre de rendre avec justesse son sentiment sur les lieux où se déroule son récit.

Wikipédia


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